Montréel

Le Salon du livre du Saguenay-Lac-Saint-Jean s’est bien déroulé. J’ai écrit quelques mots à ce sujet sur Fractale Framboise. Après un bon festival de conte à Trois-Pistoles, me voici de retour à la maison. Ces jours-ci, je suis au Salon du livre de l’Estrie. Vous pouvez me trouver au stand Alire (#85) aux heures suivantes:

• vendredi 12 octobre: 14h à 15h30; 19h à 20h
• samedi 13 octobre: 10h30 à 12h; 13h à 14h30
• dimanche 14 octobre: 14h à 15h30

Si vous venez me voir, n’oubliez pas que le Salon a lieu au nouveau Centre de foires depuis l’an passé.

Mais ce n’est pas tout! Le festival de conte Les jours sont contés débute lui aussi, avec des spectacles à Sherbrooke et ailleurs en Estrie, et même à Montréal cette année. Il faut dire que ce n’est pas n’importe quelle année, mais bien la vingtième édition du festival. Il y a de grands noms au programme, ça vaut le coup d’oeil. Et si vous voulez en profiter pour m’écouter conter, je vous convie au spectacle de mardi soir, le 16 octobre: un spectacle collectif intitulé Les uns et les ours (au prix d’un grand effort de volonté, nous avons résisté à la tentation de l’appeler Les ours sont contés). Tous les détails sont ici.

Montréel continue de recevoir un très bon accueil. Lors du congrès Boréal, en fin de semaine dernière, mon roman se méritait le prix Jacques-Brossard ainsi que le prix Boréal (les liens mènent au communiqué annonçant la remise de chaque prix). Tous deux sont des prix de littérature de genre (science-fiction, fantastique, etc.); le premier est décerné par un jury, le deuxième par les participants au congrès. Je suis ravi de ce double honneur.

Même s’il me prenait l’envie de m’asseoir sur ces lauriers, je n’ai pas le temps de le faire et c’est bien ainsi. Je donnais dimanche mon premier spectacle en tant que conteur du mois au Cabaret du Roy à Montréal: un tout nouveau spectacle, d’ailleurs, tel que je vous l’annonçais. Les nouveaux contes fonctionnent, mais l’ensemble est un peu long. Je travaille en ce moment à resserrer le tout en vue d’une deuxième représentation le dimanche 27 mai. Je me prépare aussi pour mon spectacle de cette fin de semaine. Les détails:

Dimanche 13 mai: Feu blanc

Ça commence par un coup de fil, un coup de tête, un coup de lune… il n’en faut pas plus pour se retrouver sur la face cachée de l’existence. Pendant qu’un douanier quitte son poste pour vivre sans attaches, un programmeur s’attelle à son travail pour se payer un mariage qu’il redoute; l’un change de vie et l’autre change le monde. Un pauvre type voit sa vie gouvernée par son téléphone. Une pieuvre et une fourmi plus grandes que nature se penchent sur le sort des humains. Leurs histoires passent par le rire, la misère, l’amour, la folie — passagère ou non. Éric Gauthier, conteur de l’insolite, vous invite à découvrir ces gens qui entrent dans la légende en prenant pour phare le feu blanc de la lune.

Ce sera à 20 h au Cabaret du Roy, dans le Vieux-Montréal (363, de la commune Est, dans le marché Bonsecours). Coût d’entrée: 10 $. Si vous soupez au Cabaret, le coût d’entrée est seulement de 5 $ et vous vous assurez une place à la soirée de conte. Pour réservations: 514-907-9000.

Je pars bientôt pour le Salon du livre de l’Outaouais pour y présenter mon roman Montréel, qui continue à recevoir d’excellentes critiques (la dernière: une pleine page dans la revue Lettres québécoises!).

Je donnerai d’abord un atelier sur l’écriture de contes à Ottawa jeudi. Tous les détails sont ici.

Ce soir-là, je donnerai mon spectacle Feu blanc, toujours au Centre de services Guigues au 159, rue Murray à Ottawa, à 19h (entrée libre: contribution volontaire suggérée de 10$).

Je braverai ensuite le Salon du livre de l’Outaouais de vendredi à dimanche. Vous pourrez me trouver en séance de signatures au stand Alire (#303).

• Vendredi 2 mars: 10h à 11h; 13h à 14h; 20h à 21h (je donnerai aussi une entrevue de 19h30 à 20h sur la scène Jacques-Poirier)
• Samedi 3 mars: 10h à 11h; 14h30 à 16h00; 19h30 à 21h
• Dimanche 4 mars: 10h à 11h30; 13h à 14h

Si vous ne pouvez y être, surveillez mon compte Twitter où j’essaierai de vous tenir au courant de mes aventures. On ne sait jamais ce qui peut arriver sur la route…

2011 a été chargée et j’aurai de quoi m’occuper encore cette année.

J’ai pris part à quelque festivals, dont un en Serbie. J’ai lancé l’échafaudage, mon outil pour l’écriture de romans. Surtout, je publiais en octobre dernier mon deuxième roman, Montréel. Depuis, certains ont eu le temps de le lire (600 pages, tout de même) et d’en parler — en bien, même. Voici quelques critiques.

Je continue à consacrer beaucoup de temps à l’écriture; j’espère être en mesure de vous donner des nouvelles de mes nouveaux projets avant trop longtemps.

Comme il faut bien sortir de chez soi de temps à autre, je reprendrai la tournée des Salons du livre. Ma présence est confirmée pour ceux de l’Outaouais, de Trois-Rivières et de Québec. J’ajouterai bientôt mes horaires de signatures sur mon calendrier.

Et juste avant le Salon du livre de l’Outaouais, je partagerai mon approche à l’écriture de contes. Je donnerai un atelier d’une journée (de 9h à 16h) à Ottawa, le 1er mars, à l’invitation du Cercle des conteurs de l’Est de l’Ontario.

Que vous y participiez ou non, vous aurez l’occasion de m’écouter le soir-même. Je présenterai mon spectacle solo Feu blanc:
Ça commence par un coup de fil, un coup de tête, un coup de lune… il n’en faut pas plus pour se retrouver sur la face cachée de l’existence. Pendant qu’un douanier quitte son poste pour vivre sans attaches, un programmeur s’attelle à son travail pour se payer un mariage qu’il redoute; l’un change de vie et l’autre change le monde. Un pauvre type voit sa vie gouvernée par son téléphone. Une pieuvre et une fourmi plus grandes que nature se penchent sur le sort des humains. Leurs histoires passent par le rire, la misère, l’amour, la folie — passagère ou non. Éric Gauthier, conteur insolite, vous invite à découvrir ces gens qui entrent dans la légende en prenant pour phare le feu blanc de la lune.
Ce sera à 19h au Centre de services Guigues au 159, rue Murray à Ottawa (coût d’entrée à confirmer).