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Bio:
Abitibien errant, informaticien défroqué, Éric Gauthier raconte le fantastique, l’absurde, les mystères de la vie moderne. Tantôt écrivain, tantôt conteur, il s’est produit sur une multitude de scènes, du Sergent recruteur (à Montréal) jusqu’au Yukon, en France et en Serbie. Sa passion pour les rouages des histoires l’amène aussi à accompagner le travail d’autres créateurs et créatrices. Ses œuvres lui ont valu plusieurs prix, dont le Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois. De son recueil de contes Terre des pigeons (Planète rebelle, 2002) à son roman Les Étages ultérieurs (Alire, 2021), il s’est démarqué par sa vision singulière et ses ambiances variées. Il habite Sherbrooke et fréquente des contrées imaginaires. Pour en savoir plus: ericgauthier.net.
Vous pouvez aussi consulter mon parcours en tant qu’écrivain et conteur.
Bibliographie: (fichier PDF)
Photos:
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Citations
“La réussite de l’écrivain repose sur cette facilité qu’il a de laisser couler sa verve narrative sans tomber dans la caricature. Sous l’apparente légèreté de l’écriture, Éric Gauthier aborde des sujets qui portent à réflexion comme l’état du monde, le besoin de croire en quelque chose, la relation entre frères, la morale à géométrie variable. Il fait montre d’une empathie pour ces petites gens qui essaient de trouver une façon de survivre dans un monde qui s’en va à la dérive, où la violence et les inégalités sociales sont le lot quotidien. Cette faune colorée, ancrée dans les quartiers pauvres de Montréal, évoque le cinéma d’André Forcier et l’univers romanesque d’Yves Beauchemin.”
— tiré du communiqué annonçant la remise du prix Jacques-Brossard 2020
“Il est de ces conteurs mutants qui inventent leur matière en puisant à toutes les formes de récits, fictions médiatiques, légendes urbaines, contes traditionnels.”
— Anne Dupuis, Spirale #192 (lisez l’article complet en PDF: “Le conteur, l’auditoire et les trucs du métier”)
“C’est ainsi que Gauthier structure ses contes, en réunissant les principes d’un espace-temps (la vie des étudiants de nos jours) à un autre espace-temps (le mode de vie tribale, l’oralité).”
— Nicolas Tremblay, Lettres québécoises #112 (lisez l’article complet en PDF: “Des histoires à raconter”)
“Non contents de ressusciter l’oralité traditionnelle, les jeunes conteurs en renouvellent les formes pour l’adapter aux thèmes contemporains. Un de ceux-là, Éric Gauthier, a aussi réussi à transposer tout son humour et son inventivité dans son premier roman, Une fêlure au flanc du monde. Son héros, Malick, c’est l’anti-Harry Potter.”
— Martine Desjardins, L’actualité
“Éric Gauthier, qui a publié ses deux premiers textes en 1999, a remporté pour la deuxième fois le prix Solaris l’an dernier grâce à sa nouvelle de science-fiction ‘Feu sacré’. Même s’il s’aventure ici dans un autre genre, on reconnaît son écriture simple et efficace, son humour léger et, surtout, sa façon inimitable de nous balancer, mine de rien, une petite morale qui témoigne de sa lucidité tranquille.”
— tiré du communiqué annonçant la remise du Grand Prix de la science-fiction et du fantastique québécois
Entrevues
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