Charger mon ordinateur de voyage. Charger mon iPod. Charger les batteries de mon appareil photo. Remplir le réservoir de ma plume. Remplir une bouteille d’eau. Bourrer deux sacs de vêtements, de paperasse et d’électronique. Me charger de ces bagages au petit matin et partir prendre le bus.
La tournée Montréel reprend. Je pars pour le Salon du livre du Saguenay—Lac-Saint-Jean: j’y serai jusqu’à dimanche, j’y signerai, j’y conterai. Une nouveauté: j’aurai aussi à rédiger la finale d’un conte à relais. Quatre conteurs avant moi y seront allés de leurs envolées fantaisistes et c’est à moi qu’il reviendra de tout ficeler en une finale cohérente. La vie n’est rien sans défis, non? Vous trouverez mon horaire de Salon ici. Venez me voir, achetez mon roman si vous ne l’avez pas déjà. Si vous l’avez lu, venez me dire à quel point vous l’avez adoré. Ou dites-moi que vous n’avez pas aimé et expliquez-moi pourquoi: j’aime connaître les « pourquoi ».
Le lendemain du Salon, point de répit: je me dirigerai vers Trois-Pistoles pour participer au Rendez-vous des Grandes Gueules (un festival de conte, vous le devinerez bien). J’y présenterai notamment mon nouveau spectacle solo, L’année du grand Frette — non pas à Trois-Pistoles, en fait, mais alentour, au Bic et à Rivière-du-Loup. Voici les détails.
Vous ne voulez pas allez jusque là-bas pour écouter mon nouveau spectacle? Je le présenterai aussi à Sherbrooke le 10 novembre. Dès que j’arrive à compléter la mise à jour de mon calendrier, vous y trouverez toutes les coordonnées. Et parlant de Sherbrooke, j’y présenterai d’abord un autre nouveau spectacle, une création collective, celui-là, le 16 octobre: Les uns et les ours. Ce sera dans le cadre de la vingtième édition (!) du festival Les jours sont contés en Estrie. Ne me cherchez pas trop pendant la première fin de semaine du festival, par contre: je serai surtout au Salon du livre de l’Estrie.
Entre mes diverses expéditions, vous vous en douterez, je continue à me tenir occupé. Mes projets d’écriture avancent lentement mais sûrement (mais lentement). J’ai aussi rendu disponible la version 1.2 de l’échafaudage, mon outil pour l’écriture de romans (en français et en anglais). Le tout devrait être encore un petit peu plus clair et pratique maintenant. Je suis très heureux de constater qu’il sert, comme en témoignent certains utilisateurs.
Je vous redonne des nouvelles à mon retour de Trois-Pistoles. Bonnes lectures d’ici là…