L’écriture a ses élans et ses creux de vague, ses phases, ses caprices. Depuis quelque temps, je me consacre à des textes longs et, en même temps, on m’en commande des courts. J’en avais écrit deux pour le cabaret « Lis ta rature » à Sherbrooke, sous le thème « Mise en demeure ». J’ai relu l’un d’eux au congrès Boréal et il vient de paraître dans le nouveau numéro de la revue Solaris sous le titre « Pour une littérature hors-la-loi ». J’y imagine les futurs problèmes légaux que devra affronter la littérature. Je vous le dis tout de suite: c’est un peu la faute de George R. R. Martin. Le texte est plutôt fantaisiste mais il y a un fond de vrai, comme c’est souvent le cas pour mes contes. Avec un peu de chance, vous trouverez Solaris #191 en librairie. Sinon, vous pouvez le commander ici (abonnez-vous par la même occasion, la revue en vaut la peine). C’est un joli numéro: je laisse Laurine Spehner vous en présenter les illustrations.
Et si le papier ne vous suffit pas, si l’envie vous prend de me voir et de m’entendre, vous pouvez me regarder conter « La vanette du futur » dans sa totalité, sans même avoir à vous lever. Vous trouverez la vidéo sur ma page « voix / images ». Dans ce cas-ci, comme c’est le cas pour toute bonne histoire de chasse, vous comprendrez que tout est vrai, du début à la fin…