Voilà: le déménagement s’est bien déroulé, et me voici installé à Sherbrooke. Eh oui, j’ai maintenant une hypothèque à mon nom. J’ai aussi dû payer ma part de ce qu’on appelle un droit de mutation, ce qui me réjouit: reste à décider quel genre de mutant je serai.
Même si le processus d’emménagement est loin d’être terminé, j’ai mis en place tout ce qu’il fallait pour me remettre à l’ouvrage. La plus récente révision d’Une fêlure au flanc du monde est entre les mains de l’éditeur. En attendant que le manuscrit me revienne pour une autre révision (finale ou quasi-finale, à ce point-ci, du moins je l’espère), je me penche sur d’autres projets d’écriture et je lis des histoires de fantômes. Le manoir ici recèle plein de bruits étranges, mais je commence à m’y sentir chez moi.